Livre d'or

27 juillet 2009

Laisse les Mongols chez Denise

5 jours à Venise en amoureux, c'est romantique. Oui mais c'est aussi crevant. On a bien profité de de notre séjour entre les visites des monuments historiques, des musées permanents ou temporaires et les petits restos dénichés dans le guide du routard (indispensable!).

A Venise même avec une carte, soit on sait où on est et on n'arrive pas forcement à suivre le trajet que l'on s'est fixé, soit on croyait savoir où on était et là c'est pire quand on arrive enfin à savoir où on se trouve (c'est à dire à l'opposé de là où on était censé être).

On a souvent eu l'impression de tourner en rond mais celà nous a permis de découvrir des petits quartiers peu touristisques (enfin moins) où on a pu observer les vénitiens vivre.

En autre: un café dans la seule maison qui torrifie son café (Caffé Costarica - CANNAREGIO), un glace le long des zattères (Galeteria Nico - DORSODURO), des restos ou on est a l'écoute des clients et non des touristes (Antica Sacrestia, Taverna San Lio - CASTELLO).

Ces 3 quartiers ont été mes préférés !

24 juillet 2009

Putain 10 ans...

Il y a 10 ans, à Communay, nous nous disions OUI ! Nous étions un peu plus jeunes, un peu plus beau ;o)
Et puis il y avait eu cette super soirée à Oytier Saint Oblas où personne ne voulait partir.
Aujourd'hui, que de chemin parcouru: 3 enfants, une maison et toujours des projets, et toujours l'impression d'être comme il ya 10 ans!
A l'heure donc où ce post apparaitra sur mon Blog, Natacha et moi seront sans les enfants pour fêter ce moment... à Venise.
Mais ça c'est une autre histoire.
Bon Anniversaire ma Chérie

19 juillet 2009

La famille s'est agrandit, la maison aussi

Depuis un an, la famille s'étant agrandit, les filles (les grandes) partageaient la même chambre. Nous en avons profité pour nous lancer dans un nouveau projet afin que chacun retrouve ses repères dans cette maison qui devenait trop petite. Pour l'instant c'est un peu Beyrouth mais à l'automne prochain nous espérons que cela ressemblera à quelquechose. Cela sent une nouvelle crémaillère.

13 juillet 2009

MERDE Happens...

Cette couverture m'a value le passage de ma p'tite gueugueule sur les écrans géants de Jazz à Vienne cette année, lorsque que les caméraman s'installent avant le concert et s'amusent à voler des images insolites ou rigolotes dans le public. Moi j'étais en train de bouquiner tranquillement.

"MERDE Happens" est le 3° volet de la trilogie de Stephen Clarke. Il raconte les aventures ou les mésaventures d'un anglais expatrié à Paris qui cherche un boulot dans la communication (A Year in The MERDE), d'un anglais montant finalement son business et se rendant compte qu'il n'est plus tout à fait anglais lorsqu'il revient en Angleterre (MERDE Actually). Dans le dernier livre, il est embarqué aux Etats-unis avec sa petite copine à bord d'une mini aux couleurs de l'Angleterre pour un périple promotionnel.

J'ai adoré le premier volet, le deuxième moyennement (j'ai eu du mal à le finir), et le troisième est vraiment pas mal (je le commence tout juste).

Je vous conseille de les lire en anglais car il y a plein d'allusions à notre accent lorsque l'on parle anglais. C'est assez fendant.

A Year In The Merde: "Paul West, a young Englishman, arrives in Paris to start a new job - and finds out what the French are really like.

They do eat a lot of cheese, some of which smells like pigs' droppings. They don't wash their armpits with garlic soap. Going on strike really is the second national participation sport after pétanque. And, yes, they do use suppositories.

In his first novel, Stephen Clarke gives a laugh-out-loud account of the pleasures and perils of being a Brit in France. Less quaint than A Year in Provence , less chocolatey than Chocolat , A Year in the Merde will tell you how to get served by the grumpiest Parisian waiter; how to make perfect vinaigrette every time; how to make amour - not war; and how not to buy a house in the French countryside"

Merde Actually: "A year after arriving in France, Englishman Paul West is still struggling with some fundamental questions:

What is the best way to scare a gendarme? Why are there no health warnings on French nudist beaches? And is it really polite to sleep with your boss’s mistress?

Paul opens his English tea room, and mutates (temporarily) into a Parisian waiter; samples the pleasures of typically French hotel-room afternoons; and, on a return visit to the UK, sees the full horror of a British office party through Parisian eyes.

Meanwhile, he continues his search for the perfect French mademoiselle. But will Paul find l’amour éternel, or will it all end in merde
?

In his second comedy of errors, Paul West continues to sabotage the entente cordiale.

Author’s apology: ‘I’d just like to say sorry to all the suppository fans out there, because in this book there are no suppositories. There are, however, lots of courgettes, and I see this as progress. Suppositories to courgettes – I think it proves that I’m developing as a writer.’ Stephen Clarke.
"

Merde Happens: "Paul West is in deep financial merde.

His only way out of debt is to accept a decidedly dodgy job that involves him touring America in a Mini, while pretending to be typically British.

Also in the car is Paul's French girlfriend, Alexa, and his American poet friend, Jake, whose main aim in life is to sleep with a woman from every country in the world. Preferably in the back of Paul's Mini.

But as the little car battles from New York to Miami, and then heads west, leg-room turns out to be the least of Paul's troubles. His work is being sabotaged, his tour plans are in tatters, and his love life becomes a Franco-American war zone.

And as Paul knows better than anyone, when you mix love and war - merde happens..."

12 juillet 2009

Jazz à Vienne 2009

Cette année encore j'avais mon abonnement. Et chaque année c'est la même chose: les quinzes premiers jours de juillet, il ne faut rien prévoir dans mon agenda et pourtant je n'ai jamais été antant été sollicité. Du coup je n'ai fait que 5 des 7 soirées de mon abo. Richard, mon collègue a pu quand même en bénéficier pour la nuit du blues qui était apparement exceptionnel.

Cette année pour la première fois nous avons fait une soirée avec toute la famille. C'était celle avec Yaël Naïm et Seal. Léna et Juliette ont adoré mais si sur la fin c'était un peu dur.

Cette année était plutôt un bon cru. Mes coups de coeur reviennent à David Sanborn (un de mes saxophonistes préférés), Mario Canonge Trio (une révélation pour moi) qui a réussi a faire se lever tout un théatre et le faire chanter et danser, l'hommage à Nina Simone (avec entre autres sa fille Simone, Liz Wright, Dianne Reeves, et Angélique Kidjo), Martial Solal (même si cela reste difficile d'accès) et SMV (Stanley Clarke, Marcus Miller, Victor Wooten) qui ont fait leur show, c'était un peu frime mais ils peuvent se le permettre.